Recherche de synergie pour plus d’efficacité
En effet, pour être au plus près des besoins des ETI et PME françaises, les deux organismes partenaires feront à leurs clients respectifs la promotion croisée de leurs gammes de produits et services. Pour Bpifrance, c’est notamment l’Assurance Prospection, le Prêt Croissance International, le Crédit Export… ; pour l’Opérateurs spécialisés du comm, des solutions d’accompagnement des entreprises dans leur développement à l’international.
Ce partenariat pourra aussi se décliner sous la forme d’un accompagnement conjoint d’entreprises qui souhaitent se développer à l’export ou s’implanter à l’étranger.
Une Assurance prospection élargie
L’Assurance Prospection, gérée par Bpifrance pour le compte de l’Etat, est un outil de soutien à l’export qui offre aux entreprises une assurance contre le risque d’échec de leurs actions de prospection à l’étranger, ainsi qu’un soutien de trésorerie (jusqu’à 65% des dépenses engagées).
Dans le cadre de ce nouveau partenariat, les entreprises qui bénéficient d’une Assurance Prospection pourront voir prises en charge leurs dépenses liées à une externalisation de leur service export proposée par les adhérents agréés de l’OSCI. Dépense qui n’était pas éligible jusqu’à présent.
Les deux représentants des organismes ont finalisé ce nouveau partenariat par leur vision de l'international en France :
Pedro Novo, Directeur exécutif Export de Bpifrance : "L’internationalisation et le développement des exportations des entreprises françaises sont des axes majeurs de compétitivité, essentiels pour la vitalité pour notre économie.../... « La consolidation de notre partenariat avec l’OSCI constitue une grande opportunité de faire connaître à nos clients nos savoir-faire respectifs, mais aussi, grâce à l’Assurance Prospection, d’offrir aux entreprises un recours facilité à des compétences externes, qui leur permettront d’aborder sereinement leur développement international."
Etienne Vauchez, Président de l’OSCI : "le facteur limitant de l’internationalisation des entreprises est souvent le manque de compétence-pays, c’est à dire de la capacité à analyser finement chaque marché visé, à y créer des relations d’affaires coopératives avec les partenaires locaux (agents, distributeurs, collaborateurs, clients, etc.), à y adapter son marketing voire son produit ; ce sont ces compétences que les OSCI, basés et opérant commercialement dans plus de 100 pays dans le monde, peuvent apporter aux entreprises françaises, via des collaborations sous la forme de prestations en sous-traitance ou en externalisation, renforçant ainsi la capacité des entreprises françaises à saisir les opportunités sur les marchés internationaux."
