Représentation graphique ayant une forme de "cloche" et permettant de visualiser la relation entre internationalisation et performance de l'entreprise.
Il apparaît que même si les avantages potentiels de l’internationalisation sont nombreux (économies d’échelle, utilisation de ressources locales, proximité des clients et fournisseurs …), la nécessité de combiner de multiples activités sur un vaste territoire génère une complexité dont le coût peut parfois excéder les bénéfices. De ce fait, il ressort que les meilleurs résultats correspondent à un niveau d’internationalisation modéré.
Thèse régulièrement constestée, notamment par les travaux de George Yip sur les grandes entreprises britanniques, qui montrent que la performance à l'international s'améliore significativement lorsque le pourcentage du chiffre d'affaires à l'international dépasse les 40 %. L'accumulation d'expérience à l'international apporterait plutôt un gain de performance.