Travailler à l’étranger ! Voila un rêve que beaucoup de personnes, quel que soit leur nationalité ont envisagé un jour dans leur vie. Que ce soit pour un meilleur salaire, suivre un conjoint, avoir des opportunités de carrière ou tout simplement trouver un emploi, le projet de travailler en dehors de nos frontières est de plus en plus fréquent aujourd’hui et touche toutes les classes d’âge.
Selon l’étude HSBC Expat Explorer 2018, dans le monde c’est Singapour qui a les faveurs de 56 % des expatriés dans le monde, la Nouvelle-Zélande et l’Allemagne suivent de près. La France, elle, ne pointe qu’à la 11ème position de ce classement.
En France, on considère qu’il y a entre 2 et 2.5 millions de personnes qui vivent et travaillent à l’étranger en 2017. En termes de destination, c’est environ 50 % qui partent en dehors de l’Union Européenne (Etats-Unis, Islande, Canada...) et donc 50 % qui restent au sein de l’UE, notamment en Belgique, Royaume-Uni et l’Allemagne.
Certes cette mobilité pour travailler va de pair avec ce courant de mondialisation qui accompagne les sociétés occidentales mais bénéficie aussi de différents dispositifs (type ERASMUS) qui permettent d’envisager et de concrétiser ces projets beaucoup plus facilement.
Car oui, travailler à l’étranger peut être facile, à condition de s’y préparer correctement. Au-delà de l’appréhension des différences de culture qui influencent très nettement la vie quotidienne d’un expatrié, il y a la question du droit du travail qui doit être une réelle préoccupation sous peine de sanction parfois sévère !
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