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Alors n'hésitez pas, rejoignez la communauté internationale du Dico du commerce international !

 

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Une nouvelle ressource sur l'internationalisation des entreprises.

Le 2016-10-12

Aujourd'hui le Dico souhaite vous présenter un blog  réaliser par Monsieur Jean Sliwa, un contributeur régulier au Dico du commerce international.

Ce blog est consacré tout d'abord à l'import-export en général, notamment des aspects juridiques et techniques des échanges, mais aussi à l'actualisation de l'ouvrage "L'import-export, présenté, expliqué et commenté pour les TPE et PME" dont monsieur Sliwa est l'auteur.

Le dernier article en date du blog est intiutlé "TVA, autoliquidation et formalités déclaratives relatives aux échanges de biens".

Une ressource complémentaire du Dico et qui permet de une autre vision de l'internationalisation des entreprises.

A consulter sans modération en cliquant ici : http://pourinfoeco.over-blog.com/

 "L'import-export, présenté, expliqué et commenté pour les TPE et PME" aux éditions du Puits fleuri.

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Souriez-vous êtes en train de payer !!

Le 2016-10-07

Ça y est c’est maintenant une réalité, on peut payer avec un selfie ! En effet il est désormais possible de valider ses achats en ligne en se prenant en photo. Cela faisait plusieurs mois que l’entreprise américaine MasterCard procédait à des tests aux Pays-Bas, aux Etats-Unis et au Canada. Dorénavant les clients possesseurs de cartes de paiement MasterCard pourront confirmer leurs achats en ligne via un système de reconnaissance faciale ainsi que par leurs empreintes digitales.
Cette technologie va être lancée d'abord dans 12 pays d'Europe. La France n'en fait pour l'heure pas partie mais "la technologie sera ensuite déployée dans le monde entier, par étapes, en 2017" a affirmé l'entreprise dans un communiqué.
Un doute subsistait sur cette pratique : Que se passe-t-il si on utilise une photo de moi ? MasterCard a trouvé une parade en demandant à l’usager, pendant le selfie, de cligner des yeux. 

Enfin, le géant des systèmes de paiement affirme qu'il ne stockera pas les données biométriques, qui seront seulement conservées dans le téléphone : de quoi rassurer les utilisateurs inquiets pour leur vie privée !

 

Le Dico du commerce international a le vent en poupe !

Le 2016-10-06

Ce mois de septembre 2016 a été un mois symbolique pour le Dico !

Durant ce mois, Le Dico du commerce international a dépassé le seuil des 3 000 000 de visiteurs depuis sa création, il y a maintenant 3 ans et demi. C'est aussi le mois durant lequel la fréquentation quotidienne franchit les 6000 sessions avec un peu plus de 8000 pages vues par jour.
Le rayonnement du Dico est plus que jamais international, puisqu'à ce jour il possède des visiteurs dans la quasi totalité des pays du monde !

Enfin, le Dico a, à ce jour, plus de 1250 définitions dans ses pages, en plus des nombreuses autres rubriques qui permettent de comprendre la complexité du commerce international.

Un grand merci à tous les visiteurs !

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Les géants mondiaux du cloud s'intéressent à la France !

Le 2016-10-06

A cinq jours d'intervalle, les deux colosses des infrastructures cloud, Amazon Web Services (AWS) et Microsoft, ont annoncé qu'ils allaient ouvrir leurs premiers « data centers » dans l'Hexagone dès 2017.
En effet, la France va devenir le quatrième pays européen où AWS possède des infrastructures en propre, après l'Irlande, l'Allemagne et bientôt le Royaume-Uni. 
Pour Microsoft, la France sera le troisième pays couvert sur le sol européen en « data centers » par la firme de Redmond, après l'Irlande et les Pays-Bas.

 « La France est aujourd'hui un ­marché clef pour ces acteurs », fait valoir Emmanuelle Olivié-Paul, directrice associée de la société d'études ­Markess, qui prévoit pour le cloud en France un chiffre d'affaires global de 6,4 milliards d'euros cette année (infrastructures, plates-formes et services en ligne) et qui grimpera à 9 milliards en 2018. 

Mais les géants du cloud étaient déjà bien implantés dans l'Hexagone. Pourquoi de telles annonces ? D'une part, cela va leur permettre d'améliorer la performance du service fourni en raccourcissant le chemin parcouru par les requêtes, et donc le temps de latence.

Surtout, cela vise à rassurer leurs clients actuels et surtout potentiels sur la question sensible de la localisation des données. Pour ces groupes, un tel déploiement est aussi une manière de se positionner dans ce débat sur le lieu de stockage des données. « L'UE va vers un durcissement de la législation à ce niveau-là, et ces groupes savent qu'à terme ils n'auront pas le choix. Soit ils abandonnent le marché européen, qui représente tout de même 500 millions de personnes, soit ils ouvrent des "data centers" pour y héberger leurs données provenant de l'UE », tranche Marc-Antoine Ledieu, avocat au barreau de Paris et spécialiste des nouvelles technologies.

Les acteurs français du cloud, de leur côté, perdent là un avantage différenciant par rapport à AWS, Microsoft et Salesforce. « Le Patriot Act (appelé maintenant le Freedom Act) est toujours en vigueur aux Etats-Unis et concerne toutes les entreprises américaines, même si elles ouvrent des "data centers" au-delà des vrontières américaines. Concrètement, la ­justice américaine peut encore réclamer un accès à toutes les données hébergées par un opérateur de service !

La guerre du cloud ne fait que commencer...

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Bercy, pessimiste sur le niveau de la balance commerciale en 2017

Le 2016-10-06

Vent de pessimisme concernant le commerce extérieur de biens pour la France en 2017.
En effet, dans le rapport économique, social et financier du projet de loi de finances pour 2017, Bercy indique prévoir une légère dégradation de la balance commerciale de biens, le déficit étant anticipé à 48,9 milliards d'euros, contre 45,3 milliards prévus cette année. Le ministère explique ce creusement du déficit par « l'effet du Brexit et une nouvelle dégradation du solde commercial énergétique en lien avec la remontée des prix du pétrole ». La Grande-Bretagne est en effet le partenaire commercial avec lequel la France enregistre l'excédent le plus fort. La chute récente de la livre sterling pourrait faire des dégâts.

Lire l'articlme complet sur les Echos.fr 

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GEFCO, la réussite d'une stratégie à l'international !

Le 2016-10-02

Aujourd’hui le Dico fait un focus sur un des spécialistes de la logistique, GEFCO qui se caractérise par son orientation et sa réussite à l’internationale.

Créé en 1949 , le CA du groupe Gefco atteint 4,2 Mds€, en 2015. Avec ses 12 000 collaborateurs dans le monde et ses 44 filiales sur les 5 continents, l’année 2016 s’annonce encore excellente : 1er semestre 2016, le CA du groupe atteint 2,2 Mds€, en croissance de 3,5% comparé à l'an dernier. Un bon résultat, vu le contexte économique, que le spécialiste de la logistique industrielle attribue à plusieurs axes de sa stratégie à l'international. D'une part à l'acquisition fin 2015 du néerlandais IJS Global dont la présence dans 16 pays renforce sa couverture mondiale en portant à 44 le nombre de ses filiales, et à 300 celui de ses implantations. Un renfort important dans des zones-clé d'activité (Chine, Asie du Sud-Est, Australie et Nouvelle-Zélande, mais aussi Etats-Unis), sans compter que la spécialisation d'IJS dans le transport de produits pharmaceutiques, high-tech ou aérospatiaux contribue à la diversification du portefeuille de Gefco, son 2e axe de développement international. Signalons également les liens établis au 1er semestre avec Nintendo en Espagne, l'industriel turc Sisecam, le sidérurgiste Severstal en Russie ou l'équipementier aéronautique Ratier Figeac pour des flux France-Maroc. Quant au pilier historique de Gefco dans la logistique automobile (4 millions de véhicules transportés à ce jour), il s'est illustré par des contrats signés avec Fiat au Brésil pour le transport de pièces détachées, avec l'équipementier SNOP pour une prestation de 4PL en France, ou avec le constructeur Dongfeng Liuzhou pour de l'entreposage en Chine.

Une stratégie réussie à l’échelle mondiale !

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Révolution sur la toile !

Le 2016-10-01

Cette fin septembre représente un moment historique pour l’internet mondial ! Un changement qui devrait rester peu visible du grand public mais qui est d'une importance symbolique forte. Le vendredi 30 septembre à minuit, heure américaine, Washington a mis fin à sa supervision de l'organisme qui attribue les adresses Internet dans le monde, l’ICANN (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers).

En effet, sous tutelle des États-Unis depuis sa création en 1998, l'Icann est ainsi maintenant doté d'une direction pluripartite non-gouvernementale.

Soumise au droit californien, l’organisme se plaçait de facto sous la tutelle du gouvernement américain, même si celui-ci n'a jamais utilisé ce pouvoir. Après des années de polémiques en coulisse, Barack Obama avait promis en 2014 que l'Icann serait internationalisée. C’est donc chose faite.

L’ICANN devient ainsi une organisation internationale auto-régulée, indépendante et à but non lucratif.

Pour les utilisateurs, le changement doit être invisible. Le financement de l'organisation continue de venir de contrats signés avec les propriétaires de noms de domaine et d'annuaires électroniques. Fadi Chehadé, qui dirigeait jusqu'à présent l'Icann et va être remplacé par le suédois Göran Marby, estime que la nouvelle organisation sera plus rassurante pour les utilisateurs, les entreprises et les gouvernements même si le rôle du gouvernement américain se limitait à la surveillance des procédures en place, comme un «agent de la circulation», selon ses propres termes.

Un petit moment d’histoire qui passe inaperçu !!

Définition de l'ICANN en cliquant ici.

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Exemple de conséquence du Brexit !

Le 2016-09-27

Selon une étude récente du cabinet KPMG, réalisée auprès de 100 entreprises  réalisant un chiffre d’affaires compris entre 100 millions et un milliard de livres et dévoilée mi-septembre, 76% d'entre elles envisageraient de délocaliser leur activité suite au OUI en faveur du BREXIT.

En effet, Si 86% des patrons interrogés disent avoir confiance dans la capacité de leur entreprise à se développer, 76% ajoutent envisager de déménager hors du Royaume-Uni certaines activités ou leur siège social.
Interrogés sur les facteurs qui pourraient les inciter à continuer d'investir en Grande-Bretagne malgré le vote du Brexit, les chefs d'entreprise ont placé en majorité les accords commerciaux en tête.

KPMG précise que 72% des dirigeants sondés ont voté pour le maintien de leur pays dans l'Union européenne.

Brexit